Aussi loin que je me souvienne, ma première impression du sport blanc est une sensation olfactive, composite et bizarre : l’odeur sucrée d’un fournil de boulanger- pâtissier et le fumet âcre et suret de fientes de colombes. C’est que notre voisin, qui travaillait dans la farine et élevait des pigeons voyageurs, était alors — nous […]
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