Le festival de Cannes est rarement un endroit franchement gai, aussi y accueille-t-on traditionnellement avec gratitude tout de qui sort de la grisaille dominante. Cette année, ce fut „Il piccolo diavolo“, en 1986 c’était un petit film réalisé par un parfait inconnu: „She’s gotta have it“ („Lola Darling“). L’auteur en était un jeune Noir aussitôt […]
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